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 surprenants végétaux...

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Annem
Fée des granules
Annem


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MessageSujet: surprenants végétaux...   surprenants végétaux... EmptyJeu 09 Fév 2012, 10:03

La vie affective des plantes

Aristote pensait que les plantes avaient une âme . Charles Darwin comparait certaines parties d'une plante à un cerveau, et joua une fois du basson devant son mimosa pudica pour tenter (sans succès) d'en faire bouger les feuilles. Quant à Goethe, qui n'était pas seulement poète mais aussi botaniste et directeur des mines du Duché & de Saxe Weimar, il avait fait des découvertes fondamentales sur la métamorphose des plantes, et entrevoyait une essence spirituelle derrière leur forme matérielle.

A priori ces assertions ne semblent pas très rationnelles pourtant de nombreuses expériences , peu connues du grand public viennent appuyer ces faits. En effet, plusieurs observations réalisées dans plusieurs pays, ont révélées un monde inconnu et mystérieux, dans lequel les plantes souffrent, éprouvent des émotions, lisent la pensée humaine, et tentent de communiquer avec nous .

Tout les éléments qui vont suivre ont été tiré d’un article d’Alexandre Dorozynskie publié dans la rubrique Botanique de la célèbre et très sérieuse revue scientifique « Science et Vie » :

L'événenent qui semble avoir contribué plus que d'autres au renouveau d'intérêt que porte la science à ce monde mystérieux s'est produit à New York en 1963, dans les bureaux d'un expert de la détection du mensonge, Cleve Backster, consultant auprès de la police new-yorkaise. L'un des paramètres dont tient compte la détection du mensonge est la résistance galvanique de la peau. Un jour, par impulsion, ou curiosité intellectuelle ou peut-être, parce qu'il n'avait rien d'autre à faire, Backster plaça les électrodes de son détecteur de mensonge sur une feuille de dragonnire, ou dracaena, une plante d'appartement que sa secrétaire avait achetée. Puis, il arrosa la plante.

Il s'attendait à ce que le galvanomètre ( à la suite d'une teneur d'eau accrue) indique une résistance plus faible au courant électrique, mais c'est précisément le contraire qui se produisit. Perplexe, Backster se demanda alors ce qui se passerait si la plante "souffrait". Il décida de brûler, avec son briquet, la feuille même sur laquelle il avait placé les électrodes. Quelle ne fut pas sa surprise, au moment où sa décision était prise et avant même d'avoir extrait le briquet de sa poche, de voir l'aiguille enregistreuse bondir soudainement, pour indiquer une conductivité superficielle accrue. Le tracé graphique lui rappelait curieusement celui d'un homme lorsqu'on lui pose une question-piège ou lorsqu'on le menace.


Témoins à charge et détecteur de mensonges

D'expérience en expérience, réalisées avec une instrumentation raffinée, Backster devint convaincu que les plantes percevaient les sentiments humains, et qu'elles éprouvaient quelque chose comme des sentiments envers leur maître. Une expérience particulièrement spectaculaire, à laquelle ont participé quelques agents de la police new-yorkaise, semblait montrer que les plantes ont également une mémoire.

Six sujets, les yeux bandés, tiraient d'un chapeau un papier plié. Sur l'un des papiers était rédigé l'ordre d'arracher et de détruire l'une des deux plantes se trouvant dans la pièce. Le crime était ensuite perpétré en secret, sans que ni les sujets, ni Backster lui-même, ne sachent qui était le coupable; le seul témoin était l'autre plante, celle qui n'était pas détruite.

Ensuite, on fixait des électrodes sur la plante témoin, et les suspects défilaient devant elle un à un. On observait alors que lorsque le coupable s'en approchait, l'aiguille du galvanomètre s'affolait. De deux choses l'une : ou bien la plante "reconnaissait" celui qui avait tué l'un des siens, ou bien elle percevait, par une sorte de télépathie, la culpabilité que l'on essayait de dissimuler. En tout cas, le criminel était démasqué.

Lors d'une autre expérience, qui a été plusieurs fois répétée devant des jurys scientifiques, Backster réussissait à transformer une plante en détecteur de mensonge. Des électrodes étaient placées sur une plante, et un homme - sans électrodes - s'asseyait devant elle. Backster disait à l'homme qu'il allait lui citer une série d'années en lui demandant si elles correspondaient à sa date de naissance, et qu'il fallait toujours répondre "non". Invariablement, Backster pouvait deviner l'année de naissance - qui correspondait sur le graphique à une courbe galvanique bien marquée.

Une autre expérience, réalisée par Backster pour éliminer tout facteur humain et subjectif, consistait à placer dans une pièce close quelques crevettes vivantes sur un plateau basculant. Lorsque le plateau basculait (en l'absence de toute intervention humaine) les crevettes tombaient dans une casserole d'eau bouillante. Dans une chambre voisine, close également, une plante branchée sur galvanomètre émettait au moment de la mort des crevettes un tracé soudainement turbulent.

Le tracé était différent de celui qui enregistrait une émotion, et Backster se demanda s'il ne correspondait pas à une sorte de perception par un groupe de cellules de la mort d'un autre groupe de cellules. De nouvelles expériences lui permirent d'établir que la même forme de réaction se retrouvait lors de la mort "perçue" par la plante, de bactéries, levures, cultures diverses, amibes, cellules sanguines, et spermatozoïdes.

Cette dernière expérience rappelle celle de chercheurs soviétiques, qui ont démontré que des cellules vivantes pouvaient "communiquer" à travers une paroi de quartz. En fait, remarquent les auteurs, il semble que ces communications ne se font pas par l'intermédiaire d'ondes électromagnétiques, car elles ne sont interrompues ni par une cage de Faraday, ni par une paroi de plomb.

Il semblerait même que lorsqu'une "empathie" (faute d'autre terme ) ( faculté intuitive de se mettre à la place d'autrui, de percevoir ce qu'il ressent) est établie entre une plante et son maître, ni la distance, ni les obstacles n'interrompent le "rapport". Des expériences lors desquelles le tracé de plantes était enregistré pendant que le "maître" voyageait, montraient des soubresauts galvaniques correspondant aux moments mêmes des diverses péripéties du voyage. Pierre Paul Sauvin, un ingénieur électronicien américain, a constaté, en rentrant dans son laboratoire, après un week-end à la campagne, pendant lequel l'activité galvanique de ses plantes était automatiquement enregistrée, des paroxysmes qui correspondaient au moment même de ses ébats amoureux avec une amie.

Les chercheurs soviétiques ont accumulé une masse importante de données, dont la plupart ont été systématiquement et pendant longtemps rejetées par l'Occident, mais qui ont stimulé quelques expériences, notamment aux Etats-Unis.


Des cellules qui communiquent entre elles


Les Soviétiques ont été les premiers à inculquer à des plantes des réactions conditionnées quasiment pavloviennes. Une équipe de chercheurs à l'université d'Alma Ata, dans le Kazakhstan, a ainsi appris à un philodendron à se méfier d'une certaine roche minéralisée, en soumettant la plante à diverses tortures (brûlures, coupures, chocs électriques) chaque fois que la roche en question était placée à côté d'elle. Au bout d'un certain temps, la plante "s'affolait" dès que l'on plaçait cette roche dans son voisinage - mais n'avait aucune réaction galvanique si l'on y substituait une autre roche, ne contenant pas de filon métallique. Il est possible, pensent les chercheurs soviétiques, que les plantes puissent un jour être utilisées pour la prospection géologique.

Un psychologue moscovite, le Prov. V.N. Pouchkine, et son collaborateur, V.M. Fetisov, ont vérifié avec soin les expériences de Backster, et en arrivent à peu prés aux mêmes conclusions. Pouchkine et Fetisov ont réalisé l'expérience de la perception des émotions par une plante grâce à l'intermédiaire d'une jeune fille que l'on hypnotisait, lui suggérant divers états d'esprit. "Nous obtenions une réaction électrique, grâce à un encéphalographe branché sur un géranium en pot, à chaque émotion que nous suggérions."

Le géranium pouvait aussi "détecter le mensonge" et deviner, sans coup férir, un nombre entre 1 et 10 choisi par la jeune fille.

En tentant d'expliquer ce qui se passait, Fouchkine écrit : " Il se peut qu'entre deux systèmes d'information, les cellules de la plante et les cellules nerveuses, existe un lien. Le langage de la cellule de la plante peut être en rapport avec celui de la cellule nerveuse. Ainsi deux types de cellules totalement différentes les unes des autres peuvent "se comprendre" ".

Lors d'une réunion à l'Institut de Médecine Clinique et Expérimentale à Novosibirks, le Dr S.P. Shchurin et deux de ses collaborateurs de l'Institut d'Automation et d'Electronique ont été recompensés par l'Etat pour leur découverte de "conversation" entre deux groupes de cellules humaines, chacune des cultures étant placée dans une boîte de quartz complètement hermétique. Alors que le premier groupe était infecté par un virus, le second semblait éprouver les mêmes symptômes. De même, les deux cultures étaient tuées lorsqu'une seule était soumise à une dose mortelle de poison ou de radiation.


Un mystère : la nature du "canal télépathique" par lequel correspondent les cellules.

Les plantes, aussi invraisemblable que cela puisse paraître, manifestent également un certain éclectisme musical. Plusieurs expériences dans ce domaine ont été réalisées avec une rigueur toute scientifique par une musicienne de Denver, Dorothy Retallack, en collaboration avec un professeur de biologie, Francis F. Broman . Trois "chambres environnementales" chacune de 20 m de long, 6 m de large et 9 m de haut, permettant un contrôle précis de la lumière, de l'humidité et de la température, étaient utilisées dans une expérience sur des philodendrons, radis, maïs, géranium, et violettes africaines, et ensuite une variété d'autres plantes. Toutes les plantes étaient placées dans des conditions identiques, Si ce n'est qu'une chambre expérimentale était totalement silencieuse, une autre contenait un haut-parleur émettant de la musique classique, et une troisième, de la musique "rock".

On constatait - sans pouvoir expliquer le phénomène - que les plantes dans la seconde chambre poussaient en se penchant vers la source de musique classique, alors que celles dans la troisième se penchaient dans la direction opposée, comme si elles tentaient de fuir la musique moderne.

Un approfondissement de ces connaissances nouvelles pourrait pensent-ils donner lieu à des applications pratiques extraordinaires. Par exemple, puisque les communications qui ont été constatées ne se font pas par l'intermédiaire de rayonnements connus ou d'ondes électromagnétiques, sont-elles, assujetties à la limite de la vitesse de la lumière, ou sont-elles instantanées, reflétant une sorte d'équilibre permanent existant dans la nature ?

Selon le Dr Hashimoto, qui dirige un centre de recherches électroniques ainsi que les services de recherche de l'importante firme industrielle Fuji Electronique Industries, il y aurait, au-delà du monde tri-dimensionnel que nous connaissons, un monde à quatre dimensions, non matériel et dominé par l'esprit. C'est dans ce monde-là que les plantes, et toutes les créatures vivantes, seraient en communication entre elles...

Ces découvertes peuvent paraître déroutantes, pendant longtemps elle n’étaient connues que de quelques initiés et spécialistes.

Me Li Hongzhi affirme dans le Chapitre « recueillir le Qi » de la Huitième leçon de Zhuan Falun (livre principal du Falun Dafa) :

«Nous vous disons que l’arbre est vivant lui aussi, non seulement il est doté de vie , mais aussi de l’activité d’une pensée supérieure (…) Les botanistes de tous les pays ont fait des recherches la dessus , y compris en Chine. Ce sujet n’est plus du domaine de la superstition. Dernièrement , j’ai dit que tout ce qui arrive maintenant à notre humanité , tout ce qui vient d’être inventé et découvert est déjà suffisant pour refondre les manuels d’enseignement actuels. Cependant , bornés par les conception traditionnelles, les gens refusent de le reconnaître , personne ne recueille et organise systématiquement ces informations ».

Source : Science et Vie n°682, 1974.

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