Voilà ce que j’ai pu lire sur la vaccination contre la varicelle dans
« Vaccinations, les vérités indésirables » de Michel Georget.
« Le vaccin contre la varicelle est couramment appliqué aux USA. Après l’administration de 1 500 000 doses, 1519 effets secondaires ont été enregistrés ( soir 1 pour 1000 vaccinations) dont 76 graves ( 1 pour 20000 vaccinations) parmi lesquels 2 chocs anaphylactiques, 16 encéphalites et 11 ataxies (accidents neurologiques amenant une incoordination des mouvements). Ce n’est pas une vaccination inoffensive d’autant que ces données correspondent probablement à des notifications spontanées et non à une surveillance systématique.
Par ailleurs ; le virus de la varicelle étant le même que celui qui cause le zona, il y a un risque de voir survenir un zona après une vaccination contre la varicelle avec un vaccin vivant soit dans l’immédiat, soit chez l’adulte quand l’immunité vaccinale se sera évanouie, comme on voit aujourd’hui pour la rougeole et la rubéole. C’est pourquoi ce vaccin né fait pas l’unanimité aux USA. Et c’est ce qui retient actuellement semble t-il nos autorités sanitaires d’introduire cette vaccination dans la pratique courante.
Les spécialistes considèrent que si cette vaccination était appliquée, il faudrait obtenir rapidement une couverture vaccinale très élevée sinon il serait préférable de s’abstenir. Quand on sait avec quelles réticences la vaccination par le ROR est acceptée il y a aura beaucoup de travail à accomplir pour persuader la population que la varicelle est une maladie redoutable. Toutefois, ce travail a déjà commencé dans le milieu médical puisque la presse destinée aux pédiatres affirme que cette vaccination présente un rapport bénéfice/coût élevé, alors qu’aucune étude n’a été réalisée.
Parmi les risques liés à cette vaccination, il y a également le fait que le virus de la varicelle est comme les virus du type herpès un virus cancérigène.
Il existe aussi comme d’autres vaccins à virus vivant un risque de transmission à l’entourage. L’Académie américaine de pédiatrie considère qu’il n’y a pas de risque même en ce qui concerne les contacts avec des femmes enceintes. Le fabricant di vaccin quant à lui est beaucoup plus réservé parce que sa responsabilité peut être engagée. Il considère que les vaccinés doivent éviter les contacts avec des sujets sensibles à haut risque : nouveau-nés, femmes enceintes, personnes immunodéprimées. »