Vous lisez quoi?

je viens de terminer l'Empire des anges de Werber.
Et en parallèle Sauve moi de Guillaume Musso
Et aussi le sang du temps de Maxime Chattam


Pareil que Magali, les transports ça aide pour lire

moi j'aime bien les Vargas, Pennac, Agatha Christie, Conan Doyle, Fortune de France et la série des Dames du Lac.... sinon j'aime bien Maupassant, mais je n'ai pas trop le temps de lire en dehors des grossesses......

sauf ces satanées copies, avec toujours les mêmes erreurs, alors que je cible bien pdt les cours, oups je change de sujet là :arrow:

en ce moment les hatier

et le serment des Limbes de Grangé (on n'a pas pu attendre qu'il sorte en poche pour l'acheter)
sinon policier, fantastique...

ce matin on a fait un vide grenier et une dame vendait ses livres que des belles et grandes éditions (pas les poches) 3 € l'un et 5 les deux

elle a eu du succès

Gaëlle, maman de Manon a écrit:

la série des Dames du Lac....

ah oui !! de Marion zimmer Bradley ? j'ai adoré ! j'étais fana du mythe arthurien après :D on s'est même fait la forêt de Paimpont l'été d'après. :D
par contre j'ai essayé le cycle du Graal de Jean Markale, je n'ai pas accroché !

VeroV a écrit:

Gaëlle, maman de Manon a écrit:

la série des Dames du Lac....

ah oui !! de Marion zimmer Bradley ? j'ai adoré ! j'étais fana du mythe arthurien après :D on s'est même fait la forêt de Paimpont l'été d'après. :D
par contre j'ai essayé le cycle du Graal de Jean Markale, je n'ai pas accroché !

pareil !

ya aussi des m. zimmer bradley sur la mythologie ... toujours aussi girl power... sisisi

VeroV a écrit:

Gaëlle, maman de Manon a écrit:

la série des Dames du Lac....

ah oui !! de Marion zimmer Bradley ? j'ai adoré ! j'étais fana du mythe arthurien après :D on s'est même fait la forêt de Paimpont l'été d'après. :D
par contre j'ai essayé le cycle du Graal de Jean Markale, je n'ai pas accroché !

le cycle du graal, c'est 4 tomes: Taliesin, Merlin, ..... ?????

si oui, j'ai essayé de les relire mais je viens de les jeter pour faire de la place !!!!

Gaëlle, maman de Manon a écrit:

le cycle du graal, c'est 4 tomes: Taliesin, Merlin, ..... ?????

si oui, j'ai essayé de les relire mais je viens de les jeter pour faire de la place !!!!

non. il y a en tout 8 tomes soit 8 époques. moi je l'ai en version France Loisirs, soit deux gros bouquins.

à chaque tome correspond une époque.
1ère époque : la naissance d'arthur
2ème époque : les chevaliers de la table ronde
3ème époque : lancelot du lac
4ème époque : la fée morgane
5ème époque : gauvain et les chemins d'Avalon
6ème épque : perceval le gallois
7ème époque : galaad et le roi pêcheur
8ème époque : la mort du roi Arthur

markale, j'accroche pas plus que ça non plus, mais barjavel a fait un "l'enchanteur" qui, lui, est vraiment super. et je confirme qu'il y a aussi de la mythologie grecque chez marion zimmer bradley (cassandre plus précisément) et qu'elle est vachement plus connue chez nous pour les dames du lac que pour la romance de ténébreuse qui fait pourtant un nombre pas possible de volumes...
sinon, j'aime bien aussi la série des princes d'ambre de zelazny; alexandre jardin, bien que je trouve que ça se répéte un peu au fur et à mesure des livres; et les romans plus ou moins historiques sur l'égypte comme ceux de christian jacques, guy rachet ou violaine vanoyeke. sur ce genre de trucs avant, j'étais capable de bloquer une semaine entière à ne faire que lire les séries complètes... mais maintenant je ne peux plus...

Citation :

barjavel a fait un "l'enchanteur" qui, lui, est vraiment super. et je confirme qu'il y a aussi de la mythologie grecque chez marion zimmer bradley (cassandre plus précisément) et qu'elle est vachement plus connue chez nous pour les dames du lac que pour la romance de ténébreuse qui fait pourtant un nombre pas possible de volumes...

ouiiii !!! l'enchanteur c'est super !

Citation :

alexandre jardin, bien que je trouve que ça se répéte un peu au fur et à mesure des livres;

j'en ai lu quelques uns.. mais je sais pas si j'aimerais encore aujourd'hui que je suis une ancêtre !

pour l'evangile selon pilate il est en livre de poche, c'est de EE Schmitt ou Schmidt...

Ah l'enchanteur de Barjavel : j'ai adoré aussi
La part de l'autre d'Eric-Emmanuel Schmitt, j'ai trouvé ça franchement bien foutu !!! ça m'a toute retournée pendant qq jours quand je l'ai eu fini... Et si Hitler avait été reçu à son concours... comment aurait été la face des choses : j'ai bien accroché !! Petits crimes conjugaux de lui aussi ça m'a bien plu ;)

Et chez Werber, moi c les thanatonautes qui m'ont bien plu !

orlynet a écrit:

Ah l'enchanteur de Barjavel : j'ai adoré aussi
La part de l'autre d'Eric-Emmanuel Schmitt, j'ai trouvé ça franchement bien foutu !!! ça m'a toute retournée pendant qq jours quand je l'ai eu fini... Et si Hitler avait été reçu à son concours... comment aurait été la face des choses : j'ai bien accroché !! Petits crimes conjugaux de lui aussi ça m'a bien plu ;)

Et chez Werber, moi c les thanatonautes qui m'ont bien plu !

Oscar et la dame rose, c'est super aussi meme si c'est bien triste

bon bon alors moi, je suis très fan d'amélie nothomb, c'est un peu la seule qui même si je suis déçue par un livre, je replonge dès le suivant!
sinon, j'ai bien ancré dans mon petit coeur "où es tu?" de marc lévy, je le revisite de temps en temps
quelques livres de sexe et d'horreur bon public
et là j'avoue être bien troublée par mes deux dernières lectures:
Moïra de ......
les hommes me plaisent généralement beaucoup de .......
(les ..... c'est que je suis désolée, je ne sais plus les auteurs et j'ai enterré les bouquins je ne sais plus où car ils réveillent en moi des )

babycat a écrit:

bon bon alors moi, je suis très fan d'amélie nothomb, c'est un peu la seule qui même si je suis déçue par un livre, je replonge dès le suivant!

J'adore aussi amélie nothomb!

tu as vu le film adapté de Stupeur et tremblements avec sylvie testud? j'ai adoré, super fidele au livre :D

j'avoue avoir vu le film stupeur et tremblement et avoir lu le livre... ben, j'ai pas pu m'empêcher de penser que cette héroïne n'avait rien capté au millieu japonais du travail. je ne sais pas quelle est exactement la part de réalité et la part de création, la part de souvenir et la part d'invention dans toute cette histoire, mais en tous cas, même si le livre et le film sont bons,ce que je reconnais, quand on connaît un peu ce milieu, on ne peut que comprendre la déchéance de l'héroïne et ce qui lui arrive comme une fatalité évidente, parce qu'elle montre vraiment une méconnaissance crasse des rouages et du fonctionnement de l'entreprise japonaise, mais aussi de l'humain et de la société elle-même. tout ce qui y est montré a une part de vérité mais c'est quand même croqué de façon excessive et à la limite du grandguignolesque... c'est le seul vrai reproche que je lui ferais... sinon, côté écriture elle-même, c'est vrai qu'elle est plutôt douée amélie...

Kinou a écrit:

Oscar et la dame rose, c'est super aussi meme si c'est bien triste

Une pure merveille ce livre ...

Ma vie avec Mozart, j'ai moins aimé.
Et j'en ai lu un autre dont j'ai oublié le titre ...

Et j'ai "l'evangile selon Pilate" qui prend la poussiere ...

J'adore aussi Amelie Nothomb.

J'ai beaucoup aimé aussi les chroniques de San Fransisco, d'Amistead Maupin (bon il y a 6 tomes ...)

Marion

marion a écrit:

Kinou a écrit:

Oscar et la dame rose, c'est super aussi meme si c'est bien triste

Une pure merveille ce livre ...


J'ai beaucoup aimé aussi les chroniques de San Fransisco, d'Amistead Maupin (bon il y a 6 tomes ...)Marion

oui ! ! !
c'est chouette ça aussi ! j'avais oublié aussi !

Kinou a écrit:

orlynet a écrit:

Ah l'enchanteur de Barjavel : j'ai adoré aussi
La part de l'autre d'Eric-Emmanuel Schmitt, j'ai trouvé ça franchement bien foutu !!! ça m'a toute retournée pendant qq jours quand je l'ai eu fini... Et si Hitler avait été reçu à son concours... comment aurait été la face des choses : j'ai bien accroché !! Petits crimes conjugaux de lui aussi ça m'a bien plu ;)

Et chez Werber, moi c les thanatonautes qui m'ont bien plu !

Oscar et la dame rose, c'est super aussi meme si c'est bien triste

je l'ai reçu en cadeau d'une cliente qui travaillais comme infirmiére pour les personnes en fin de vie dans un service de cancerologie une femme super gentille mais c'est vrai que le bouquin est super triste (moi j'y ai vu cet aspect )

Je viens de recevoir mon dernier livre......pas un roman plutôt un guide....La vérité sur les cosmétiques de Rita Stiens.

Je sens que je vais apprendre des truc qui vont me faire

comme tu dis, hélène ! ça fait un bail que je l'ai et depuis, j'arrive plus à me mettre une crème sur le nez sans regarder ce qu'il y a dedans. j'ai vu que le même était sorti sur les cosmétiques bio d'ailleurs, va falloir que je me penche dessus à l'occasion.

Je viens de lire en deux jours l'Arbre Dehors de Patricia Gavoille au éditions Gunten.

C'est un roman, un peu triste car elle meurt à la fin mais ça raconte comment une vieille dame vie ses trois dernières semaine quand on la mets d'office dans une centre de soin paliatif. Elle fait croire au début à tout le monde qu'elle ne sait rien de sa maladie et de l'issue qui lui sera fatale et joue avec les gens. C'est assez drôle malgré le coté tragique de la maladie et c'est plein de bon sens. J'ai adorer.

Citation :

L'Arbre Dehors 20.00EUR


Cliquer pour agrandir
Jeanne, amenée par son fils Paul, arrive aux Espérels, centre de soins palliatifs. Mais elle n’est pas encore au bout du chemin ! Jeanne est vivante et le fait savoir : tour à tour caustique, sarcastique, tendre… et terriblement lucide. Riche de ce qu’elle porte en elle, elle apprend à mourir, jour après jour, comme auparavant elle avait appris à vivre. Et autour d’elle, les autres apprennent à « être ».

Pas d’hommage, pas de compassion ; Patricia Gavoille laisse libre cours à ses personnages, fils, mari, soignants, qui n’en finissent pas de se rejoindre sur une route inconnue. Forts et faibles, tous avancent maladroits, presque méfiants comme des enfants le premier jour de l’école. Pas de bravoure non plus… encore que… Chacun d’entre eux appelle, réclame si fort qu’il apprivoise le sourire aux larmes, grâce au talent unique de leur auteur qui nous livre là un ouvrage d’une rare beauté. Un roman d’émotion d’une intensité rare…

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Extrait

«6 octobre. Jeanne


Eh bien ça y est. Je suis vieille. Et malade. Me voici dans le mouroir. Après la dernière chimio, ils appellent ça le dernier traitement, ils ont pris l’habitude de me parler flou, Paul a longuement tenu des conversations secrètes avec les médecins. Je les ai bien vus quitter ma chambre avec des airs de ne pas avoir l’air. Je suis vieille. Et ils croient pouvoir parler sans moi, décider sans me regarder. Mais regardez-moi, à la fin, regardez-moi ! Je saurais vous dire, moi, où j’ai envie d’être, il suffirait de me le demander. Au lieu de cela, ils ont discuté en douce, derrière la porte mal refermée. Je les ai entendus par bribes distinctes au milieu du ronronnement continu de leurs voix. A un moment, celle de Paul :
— Ah non, vous comprenez, c’est impossible comme cela. Mon père n’acceptera pas, il ne peut pas !
Dis, Paul, ton père, mon vieux mari, il ne peut pas ou il ne veut pas ?
Quoi qu’il en soit, grâce à vos efforts conjugués, me voici dans le mouroir. Je ne leur ai pas dit comment j’appelle cet endroit, ils m’auraient fait leur faux sourire qui se veut complice et auraient dit :
— Oh, madame Jasca, allons !
Alors je me tais. Pour le moment. Je le dirai une autre fois, quand il y aura une occasion. Je me ferai tout en courbettes – si je suis encore sur mes jambes – et je dirai en allongeant mon vieux museau de chatte usagée :
— J’aimerais mieux mourir chez moi qu’au mouroir !
Ils prendront leur air effaré :
— Madame Jasca, allons, allons, vous qui êtes si bien avec nous !
Non, je ne suis pas bien. Ils m’ont amenée là avec l’ambulance, couchée sur un brancard, j’ai cru que j’étais malade.
Enfin, quand je dis cru… Arrête de penser Jeanne, tu déparles, ce n’est pas j’ai cru que j’étais malade, c’est j’ai su que j’allais mourir. Ceux qui vont vivre, on ne les transporte pas en ambulance au mouroir.

On m’a amenée ici, dans cette chambre, en me disant que c’était la mienne avec un sourire à encolérer Dieu.
— Votre chambre, madame Jasca !
Alors, j’y suis allée de mon couplet, à l’aune de leur amabilité si bien jouée :
— Mais ce n’est pas ma chambre ça, ce n’est pas à moi. Et puis ce lit, il est trop étroit, vous ne pensez tout de même pas que je vais dormir là-dedans ? Si ? Eh bien, c’est ce qu’on va voir !
— Maman, regarde, a dit Paul sans trop me regarder, il est parfait ce lit !
Avec une télécommande, il a relevé le matelas en position assise, et les ambulanciers m’y ont déposée, paquet fragile. Puis il a rangé mes affaires grosso modo en disant :
— Là, tu vois, tu as une belle armoire !
Il m’a semblé qu’on dit le même genre de sottise aux petits enfants qu’on amène pour la première fois à l’école maternelle, leur paire de chaussons sous le bras ; la maîtresse se colle un sourire en travers de la figure et dit :
— Tu peux les poser là, en dessous de ton portemanteau. Et le petit, le cœur étreint, hésite à se défaire de ses précieux chaussons, pour les poser « là ». Parce que là ce n’est pas un lieu, c’est nulle part. Nulle part !
— Eh bien, dit Paul, avec ton lit électrique et tes affaires dans l’armoire, te voilà installée, n’est-ce pas ?
Comment dit-il ? Installée ? Installée ?
Je regarde ailleurs, ostensiblement le mur d’en face.
— Ce n’est pas ma chambre, pas mon lit, pas mon armoire ! Ce n’est pas ça que je veux, pas ça !
Puis, je me tais. Ma voix se mouille. Dans un sursaut de colère et de chagrin mêlés, je murmure avec un trémolo :
— Pas ça !
Je vois mon Paul qui perd contenance. Il se garde bien de me demander ce que je voudrais d’autre. Comme quand il était petit, il danse d’un pied sur l’autre, pour un peu il m’avouerait tout de go une mauvaise note ou un bête chapardage de pommes. Moi pour la forme, je gronderais de cette voix sévère que je prenais alors, une gronderie si chargée d’amour qu’elle n’a jamais fait mal : je veux croire qu’elle a construit l’homme.
Mais c’est pourtant cet homme-là aujourd’hui qui m’amène au mouroir. Sur ordre de son père, mon vieux mari. Il est tout embarrassé, l’homme, mais il obéit.
— Pas ça !
Il marmonne :
— Je t’en prie maman ! S’il te plaît ! On en a déjà parlé, non ? »

http://www.editionsgunten.com/

Pour moi, un Harlan COBEN qui s'appelle Innocent : roman sans prétention mais efficace, très prenant et très américain mais qui se lit vite quoique j'ai un peu plus de mal à accrocher sur celui-là...

J'avais bien aimé Ne le dis à personne (Canet en a fait un film), Disparu à jamais, Balle de match et Une chance de trop.

J'ai donc fini La Mariée mise à nu de Nikki Gemmel, pas mal, bah, j'en garderai pas un souvenir impérissable

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Une femme anonyme disparaît, laissant un journal intime qui raconte au quotidien son expérience sexuelle. Pour tous ceux qui la connaissaient, elle semblait l'épouse idéale : heureuse, dévouée, épanouie. Mais son journal révèle une vérité bien différente, celle d'une mariée aux désirs inassouvis...

L'avis de la Fnac
Un livre qui fit scandale en 2003 lors de sa sortie en Angleterre, aux Etats-Unis et en Australie. Construit à partir de 138 leçon de l'époque victorienne pour devenir une bonne mariée, et sur le journal intime d'une jeune mariée. Ce roman nous raconte le quotidien d'un couple, son usure, ses trahison et sa sexualité. Un livre qui ne peut laisser indifférent. Les libraires de la Fnac Evry Une jeune mariée qui pensait mener une vie heureuse avec un mari aimant voit tout son petit monde s'écrouler. Un roman faussement léger sur les relations humaines et le plaisir féminin. Une réelle surprise à découvrir. Nathalie, libraire à la Fnac Metz journal intime rédigé à la 2eme personne du pluriel, ce livre déconcertant et brillant nous offre une analyse aigue et déchirante des drames de couple à travers la vie sentimentale de son héroïne. On revisite avec émotion ce labyrinthe éternel et sans issue des relations entre les hommes et les femmes. Profond, drôle, énigmatique et sensible, infiniment... Aurore, libraire SF & polar à la Fnac Val d'Europe

Mot de l'éditeur
Une femme disparaît, laissant un journal intime qui relate son mariage au quotidien. Pour tous ceux qui la connaissaient, elle incarnait l'épouse parfaite, heureuse et épanouie ; mais son journal révèle frustrations et désirs inassouvis....

Un roman d'une vérité troublante sur le couple, la sexualité et les relations homme femme.

Nikki Gemmell est née à Wollongong, Australie. Ses premiers romans, Traversée, Les Noces sauvages et Love Song, ont été des best-sellers en Australie et en France (Belfond, 10/18). Son oeuvre a été acclamée par la critique internationale et traduite en quinze langues. Elle est considérée en Australie comme l'un des auteurs les plus originaux et les plus engagés de sa génération. Ancienne journaliste de radio à Sydney, Darwin et Alice Springs, elle vit aujourd'hui à Londres avec son mari et leur fils.

Extrait du livre :
Leçon 13

Ce ne peut être un plaisir rationnel que de se rendre en un lieu où vous n'aimeriez pas être accompagnée par votre meilleure et plus sincère amie

Tiens-moi la main, dit Cole en vous guidant à travers la cohue vespérale de Marrakech. Ni lui ni vous ne connaissez les habitudes des piétons dans cette ville ; les voitures proviennent de toutes les directions, les rues assombries suintent de gens comme à New York aux heures de pointe, sauf qu'ici tout est plus rapide, plus insolent, plus imprudent ; exaltant, pensez-vous. Mobylettes, cars de tourisme, ânes et charrettes, démarrent, s'arrêtent, tournent et se coupent la route sans règles apparentes, et la bousculade permanente vous emporte vers la vaste place centrale, le coeur de la ville, Djemma El Fna, puis vous levez la tête vers les bâtiments ocre et bas qui vous entourent, vous échappez à la poigne de Cole, vous tournoyez sur vous-même, vous vous abreuvez de ces visions, car vous sentez que tout ce qui fait la vie est ici concentré. Il y a des charmeurs de serpents aux bras chargés de reptiles entortillés qui leur font des colliers, des conteurs rabougris entourés d'hommes attentifs, des gobelets de cuivre qui leur font comme des cartou­chières, des femmes voilées qui proposent la bonne for­tune, des bijoux, le henné sur les mains. On dirait le plateau de cinéma d'un monde glorieux, saugrenu et profondément kitsch.
Diz adorerait tout ça, dites-vous en riant. Dieu merci tu ne l'as pas amenée avec toi. Vous avez failli l'inviter spontanément lorsqu'elle vous a confié qu'elle n'allait pas bien. Vous vouliez qu'elle se joigne à vous quelques jours seulement, pour lui faire plaisir : c'est son anniversaire dans trois jours, le premier juin. Mais vous saviez qu'il fallait d'abord demander à Cole et qu'il ne serait pas d'accord, évidemment. Elle est bizarre, dit-il à son propos. Tu dis ça de tous mes amis. Elle est plus bizarre que les autres. Vous n'avez aucun argument à lui opposer. Théo va en train à Paris rien que pour une coupe de cheveux. Elle a un gardénia tatoué au niveau du pubis. Ne sait pas pocher un oeuf. Ne regarde jamais la télévision. Se fait livrer ses fleurs préférées tous les lundis et les vendredis : roses de Noël, amaryllis et d'exquis noeuds de gardénias. Est mariée à un homme qui s'appelle Tomas, de vingt-quatre ans son aîné, auquel elle a rarement fait l'amour. Elle a un problème d'ordre médical. (...)

Lire les premières pages (de fnac.com)
http://multimedia.fnac.com/multimedia/editorial/pdf/9782846261203.pdf

Je suis en train de lire Antéchrista d'Amélie Bothomb, un des rares qu'il me restent à me mettre sous la dent , je l'ai loué a la médiathèque, j'ai vu que je l'avais aprés être rentrée à la maison en poche
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je m'etonne qu'ils n'en ai pas deja tiré un scénario, il est trés bon enfin, je vous dirai quand j'aurais fini

voilà ce qu'en dit fnac.com:
En résumé

Une exploration fine et sensible de l'univers adolescent, de son extrême solitude, son désarroi, de sa souffrance et de ses attentes.


Mot de l'éditeur
Blanche rencontre Christa à l'université de Bruxelles. Elles ont toutes les deux 16 ans, c'est leur seul point commun. Autant Blanche est une adolescente solitaire, qui manque de confiance en elle, autant Christa est sûre d'elle et séductrice. Leur rencontre aurait pu déboucher sur ces amitiés profondes du sortir de l'enfance mais en réalité la vie de Blanche devient un enfer. Très vite elle s'aperçoit que celle dont elle avait rêvé être l'amie ne cherche qu'à l'humilier et à la manipuler. De la déception à la haine, de l'admiration au mépris, elle oscille, souffre en silence puis décide enfin d'agir et d'affronter sa tortionnaire…

Comme dans Stupeur et tremblements, le chemin de croix d'une jeune fille solitaire et introvertie, sa fascination pour une autre jeune fille, tour à tour divinisée et diabolisée, autant d'épreuves où l'adolescente qui en est victime s'abîme face au mensonge et à la manipulation qu'exerce sur elle l'oppresseur, Antéchrista, Une exploration fine et sensible de l'univers adolescent, de son extrême solitude, son désarroi, de sa souffrance et de ses attentes, beaucoup d'adolescents s'y reconnaîtront…

Je viens d'avaler en deux jours Léonie femme de la terre et j'ai adoré...ça vous remet le sens des valeurs en place et j'ai eu l'impression de lire la vie de mémère Luthon la grand mère de Marco qui est décédé il y a 5 ans et qu'on adorait....d'ailleurs Jeanne porte son prénom en second ( Désiré) et Victorien est le prénom de son mari que je n'ai jamais connu mais qui était un homme très courageux et gentil.

Bref je vous le conseil si vous aimez retrouvez le sens de la vie autrefois un vrai retour au source qui m'a fait bcp de bien et j'en avais besoin en ce moment

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http://www.amazon.fr/Léonie-Femme-terre-Jeanine-Berducat/dp/2915484139/ref=sr_1_1/402-1106638-6349745?ie=UTF8&s=books&qid=1186906172&sr=1-1


Présentation de l'éditeur
Léonie naît le 21 décembre 1886, dans une maisonnette située à l'orée des champs, la dernière du village du Petit Plaix. Elle vit
enracinée dans une ruralité forte, au rythme des saisons, du vent, de la nature, de la terre... C'était le temps d'une autre époque. Puis, arrive le " progrès ", celui des techniques, qui bouleverse tout sur son passage, jusqu'aux consciences... Léonie n'est pas de celles à se
faire influencer. C'est sa vie que nous raconte Jeanine Berducat, de ce jour de frimas de 1886 jusqu'à cette " chaude journée de juin 1977 qui sentait bon le renouveau et les langueurs de l'été ". Une belle histoire, simple, qui se lit comme un roman, émouvant, et qui laisse un sentiment de douce nostalgie. Cet ouvrage, l'un des plus grands succès de Jeanine Berducat, est, aujourd'hui, enfin réédité.

Biographie de l'auteur
Jeanine Berducat est directrice de la Rédaction de La Bouinotte, le Magazine du Berry. Auteur de plus de dix ouvrages, elle évoque, avec beaucoup de sensibilité, le monde rural dont elle est issue.

Et là je suis dans Croucougnousse D'Armand Toupet, nous venons de voir la pièce en plein air et j'ai eu envie de lire le livre, c'est très drôle.
http://www.amazon.fr/Croucougnousse-Armand-Toupet/dp/2908670623/ref=sr_1_1/402-1106638-6349745?ie=UTF8&s=books&qid=1186906619&sr=1-1


J'édite car mes liens ne fonctionne pas

LN, çà me fait penser cette histoire à ma mamie à moi... elle a écrit l'histoire de notre famille en un roman.

Elle ne peut pas se faire éditer pour le moment (et à compte d'auteur, çà douille )

issue du milieu paysan aussi, elle retrace la vie de cette époque, elle s'est beaucoup d'ocumentée, je devrait en avoir un exemplaire relié à la fin de l'été

je regarderai si je trouve ton bouquin en attendant parceque çà m'interesse.

Gros bisous ma LN

Concernant mes lectures j'ai lu avec plaisir le célébrissime La Premiere Gorgée de biere, comment j'ai pu attendre autant avant de le lire [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Un petit livre vite lu mais qui laisse des traces car c'est une succession de petits plaisirs qu'on ne nomme même pas: aller au cinéma, ecosser les petits pois, et mille choses qui font que la vie est savoureuse comme elle l'est. Encore faut -il voir ces menus plaisirs [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

LN je te le recommande vivement en ce moment

et j'ai entamé Anna Gavalda Ensemble c'est tout, qu'une copine m'a vivement conseillé